Le Bambou (Bambusa arundinacea ou Bambusa Vulgaris) est bien connu pour ses propriétés mécaniques et sa résistance, mais c’est également une plante très intéressante pour la santé en raison de la quantité et de la qualité du silicium qu’il contient.
Le bambou est une plante monocotylédone de la famille des poacées (famille qui regroupe les graminées) qui mesure de 1 à 30 mètres de haut en fonction des variétés. Le bambou est présent essentiellement en Asie et en Amérique où l’on trouve environ 1 000 variétés, mais une trentaine d’espèces sont également réparties entre l’Afrique, l’Australie, Madagascar et les iles du pacifiques.
Parfois considéré comme un arbre, le bambou est en réalité une herbe géante au même titre que les palmiers. Son développement est particulièrement rapide (jusqu’à 1m/j) et il atteint sa taille maximale en une saison. Son chaume (bois) est très résistant aux intempéries ainsi qu’aux contraintes physiques et son empreinte carbone très avantageuse, ce qui en fait une matière première remarquable pour la fabrication de nombreux objets et même de bâtiments dans le cadre du développement durable.
Le bambou a une action dépolluante très intéressante écologiquement : une forêt de bambou peut capter jusqu’à 4 fois plus de CO2 qu’une forêt d’arbres, réduisant ainsi la teneur en gaz à effet de serre.
Il va également permettre d’éliminer un certain nombre de polluants de la terre, favorisant ainsi une dépollution générale. De plus, la plante se développe très bien sans (ou avec très peu de) traitements phytosanitaires. Néanmoins, les rhizomes (partie souterraine) du bambou empêchent le développement des autres plantes, ce qui peut en faire une espèce invasive.
Le bambou est la principale nourriture du panda géant et certaines parties peuvent également être consommées par les humains, principalement les jeunes pousses et la moelle (ou tabashir).
Que ce soit dans la tige utilisée pour les teintures-mère ou dans la moelle appelée tabashir, le principal composant recherché est le silicium qui est contenu à un très fort pourcentage dans le bambou. En fonction de la plante d’où il provient, le silicium a une forme différente : en général, il se structure en forme d’étoile aux branches plus ou moins pointues, ce qui peut limiter la durée d’utilisation possible de la plante à des cures de 6 mois à un an en fonction du produit utilisé. Le silicium de bambou, lui, a une forme arrondie et est très bien assimilé par l’organisme, ce qui en fait une source de premier choix pour les cures longues.
Le silicium fait partie des éléments « élastiques », c’est-à-dire des éléments structurels du corps. En effet, il est présent dans tous les tissus de l’organisme et représente environ 1% de la masse corporelle, il fait notamment partie de la structure de tous les tissus de maintien du corps que l’on appelle tissus conjonctifs.
Le silicium fait partie de la composition de l’élastane et du collagène, deux composants qui assurent la souplesse et la résistance des différents tissus.
Le silicium de bambou fait partie de la composition de l’élastane et du collagène, deux composants qui assurent la souplesse et la résistance des différents tissus.
Le silicium de bambou permet notamment d’améliorer l’aspect de la peau, l’état des cheveux, la souplesse et solidité des ongles, des tendons et des muscles tout en renforcant les articulations
Prendre une dose de bambou par jour en 1 ou 2 prises au moment du repas.
Le bambou et le collagène ont une action complémentaire et peuvent être utilisés en association ou en alternance afin de créer une synergie.
Le bambou peut être associé à la glucosamine, la chondroïtine et au MSM afin d’avoir une action plus globale.
Le bambou peut être associé au calcium et au magnésium.
aider à diminuer leur chute et stimuler leur croissance, le bambou peut être associé à un complexe spécifique pour cheveux ou peau, cheveux et ongles.
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